jeudi 27 mars 2014

Deux-Sèvres. L'UDI et le Modem se rassemblent !

Article du Courrier de l'Ouest du 26 mars 2014 : lien Source CO

Deux-Sèvres. L'UDI et le Modem se rassemblent !
Jean-Michel Prieur et Pierre Bureau ont scellé l'alliance.

L'UDI et le Modem des Deux-Sèvres ont annoncé ce mardi qu'ils se rassemblaient dans la foulée de l'accord national passé entre François Bayrou et Jean-Louis Borloo en novembre 2013.

Deux-Sèvres. L'UDI et le Modem se rassemblent !
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dimanche 16 mars 2014

La reconquête centriste...

Article de La Nouvelle république du 12 mars 2014 : lien Source NR

La reconquête centriste...
De droite à gauche : Denise Collon et Pierre Bureau (Modem), Jean-Michel Prieur et Jean-Claude Aubineau (Alliance centriste), tous deux membres de l'UDI.

UDI et Modem déclinent localement leur rapprochement national et préparent les élections européennes.

Nous sommes le pôle central de la vie politique ! lance Pierre Bureau, le président du Modem 79. Dans un sourire, car il sait bien que le mode futur conviendrait mieux à l'affirmation. En disant « nous », ce n'est pas son seul parti que l'adjoint au maire de Terves évoque mais bien l'union centriste qui a pris corps au niveau national en novembre avec le rapprochement du Modem de François Bayrou et de l'UDI (Union des démocrates et indépendants). Rappelons que cette dernière formation politique présidée par Jean-Louis Borloo, réunit aujourd'hui en son sein le Parti radical, son propre parti, l'Alliance centriste (Jean Arthuis) et le Nouveau centre (Hervé Morin).

Hier soir, à Niort, l'heure était à la déclinaison locale de ce rabibochage de la famille centriste éparpillée façon puzzle après le passage du rouleau compresseur UMP. « Il faut être fort pour pouvoir peser… », constate aujourd'hui Jean-Claude Aubineau. Le conseiller général de Beauvoir-sur-Niort est affilié à l'Alliance centriste, tout comme Jean-Michel Prieur qui est aussi le vice-président départemental de l'UDI après avoir longtemps milité au Modem. Désormais, c'est Pierre Bureau qui est le représentant deux-sévrien de Bayrou au côté de la Vouilletaise Denise Collon, conseillère nationale du parti.
Tous veulent tourner le dos aux chicaneries centristes du passé. Stériles et destructrices pour la cause majeure qui réunit ces partisans d'« une économie libérale pondérée par l'État » : l'Europe, « opportunité de mieux-être social sans pareil et espace précieux de paix et de liberté ». C'est d'ailleurs pour elle qu'ils veulent se mettre au travail sans délai car les élections européennes approchent.

" Les Européens "

En mai, c'est sous une unique bannière, « L'alternative » (1), – « L'alternative à la gauche et à la droite, bien sûr », précise Jean-Michel Prieur – que les centristes décidés à sortir des clivages iront à la bataille. Leurs listes communes, toutes étiquetées « Les Européens » et fruits de dosages au trébuchet, se veulent le reflet de leurs subtiles nuances. « Il n'y aura qu'une liste dans chaque région et ce sera la même chose pour les sénatoriales et les régionales et nous n'aurons qu'un candidat à la présidentielle », prévient d'ores et déjà Jean-Michel Prieur. Un nom, peut-être ? « Chez nous pas de leader ! On a bien le temps de voir ça », coupe court Pierre Bureau. C'est plus prudent.

nr.niort@nrco.fr

(1) Contact : alternative79@orange.fr

Fabien Bonnet

samedi 15 mars 2014

L'EUROPE, DERNIÈRE CHANCE POUR LA FRANCE

Communiqué de presse :

Les élections européennes m'obligent à suspendre la publication de ma newsletter mensuelle dans sa forme actuelle, depuis le Sénat, et peut être définitivement si ce que j'entreprends aboutit au résultat souhaité. J'ai décidé de me porter candidat au Parlement européen sous les couleurs des « Européens ».

Notre équipe pour l’Europe !

Soutenu par l'UDI et investi par l'Alternative, je mènerai campagne dans la circonscription « Grand Ouest » qui regroupe les régions Bretagne, Pays de la Loire et Poitou-Charentes.

Le Sénat est attachant et mon mandat actuel se court jusqu'en septembre 2017. J'ai l'honneur d'y représenter les Mayennais depuis 1983. Moins exposée à la théâtralisation politique et médiatique que l'Assemblée nationale, la Haute assemblée assure la représentation des collectivités territoriales de la République. J'y ai trouvé des conditions de travail optimales pour légiférer sereinement et exercer sans complaisance à l'égard des gouvernements successifs nos prérogatives d'évaluation des politiques publiques et de contrôle des administrations. J'avoue que l'inertie face aux réformes nécessaires et la résignation devant les déficits et l'endettement publics, l'aveuglement vis-à-vis des défis de la mondialisation m'ont souvent révolté. Au surplus, depuis septembre 2011, le Sénat est entré dans la léthargie, clonant maladroitement les joutes rituelles et stériles du fait majoritaire alors que notre pays se marginalise et s'enfonce dans le chômage.

Bref, j'ai acquis la conviction que le pouvoir, la souveraineté, exercés à l'échelon national, deviennent illusoires. A l'heure de la mondialisation, seule l'Europe nous donne les moyens de la puissance et de la confiance.

C'est pour cela que je souhaite siéger au Parlement européen.

Au moment où les chantres de l'euroscepticisme, voire de l'europhobie , donnent de la voix, il est de notre devoir de nous engager avec force dans le débat. Bouc émissaire commode de nos déconvenues, l'Europe dysfonctionne du fait de nos chefs d'État ou de gouvernement. Abandonner l'euro conduirait au chaos économique et social. Qu'il s'agisse de création d'emplois, notamment pour les jeunes, de sécurité et de diplomatie, de contrôle des flux migratoires, de lutte contre la fraude et les paradis fiscaux, de transition énergétique, de gouvernance des océans, de régulation de la finance, de protection de nos intérêts vitaux, de lutte contre la grande criminalité, de politique monétaire au service du dynamisme économique et du progrès social ou d'aide au développement, la France ne peut agir seule. L'Union européenne a besoin d'intégration politique. Son pilotage nécessite l'évolution de ses institutions pour renforcer leur légitimité démocratique. Mon engagement européen s'inscrit dans le prolongement logique de l'expérience que j'ai pu acquérir dans mes différents mandats parlementaires et fonctions exécutives. Je milite pour une Europe des citoyens, moins distante et technocratique, moins tatillonne et normative, apte à réconcilier les consommateurs et les producteurs.

Si je souhaite m'investir au Parlement européen, c'est parce que je crois que l'Europe est la dernière chance pour la France !

J'espère que ma prochaine newsletter sera sous le timbre de l'Union européenne.

Jean Arthuis, Vice-Président Europe de l'UDI

samedi 7 décembre 2013

Jean Arthuis : le fédéralisme européen fait consensus au sein de l’UDI

Communiqué de presse :

Jean Arthuis est sénateur français et vice-président de l'UDI en charge du projet européen. A l'approche des élections européennes, il envisage une union centriste avec le Modem de François Bayrou. Le parti de centre, droit aujourd’hui membre du PPE, pourrait rejoindre l’ALDE lors des prochaines élections.

L’UDI est née il y a un peu moins d’un an. Comment se préparent les élections européennes ?

Nous avons organisé une journée de réflexion le 30 août dernier sur l’échéance européenne. Cette journée a rassemblé plusieurs parlementaires français mais aussi européens du PPE et de l’ALDE venus d’Allemagne, des Pays-Bas ou encore du Royaume-Uni. L’eurodéputée Modem Sylvie Goulard nous avait également rejoint. Au cours de cette journée de travail, l’UDI a adopté un document qui fait figure de préprogramme pour les élections européennes, que nous espérons adopter fin octobre début novembre à l’occasion du premier anniversaire de l’UDI. La famille centriste porte une conviction européenne fondamentale dans ses principes fondateurs. Pour les élections européennes, nous avons choisi de nous présenter sous la bannière « Les Européens ». C’est une main tendue vers ceux qui, de l’UMP aux écologistes, se reconnaissent dans le projet européen que nous portons.

Un rapprochement avec le Modem est-il d’actualité en vue des élections européennes ?

Lors des dernières élections présidentielles, François Bayrou (président du Mouvement démocrate) a fait le choix de se ranger du côté de François Hollande, alors que notre ancrage historique se situe au centre droit. Cependant, à l’occasion des élections municipales, nous nous rendrons peut-être compte qu’une convergence est possible entre l’UDI et le Modem. Mais si ce rapprochement se concrétise, il ne sera pas seulement un accord circonstance sur les élections municipales et européennes de 2014. Il faut que cette convergence se fasse sur une durée plus longue qui devrait logiquement nous mener à la présentation d’une liste commune du centre aux élections présidentielles de 2017.

Ce rapprochement de la famille centriste va-t-il influencer le choix de votre groupe politique au sein du futur Parlement européen ?

Durant cette législature, nous étions membres du groupe PPE mais nous n’avons pas opté à ce stade pour un groupe parlementaire plutôt qu’un autre. Cependant, j’ai rencontré à plusieurs reprises Guy Verhofstadt, le président du groupe ALDE au Parlement européen, dont les propos à forte tonalité fédéraliste ont déclenché une approbation large au sein de l’UDI. Dans le choix de notre future famille politique européenne, tout rentrera en compte : le programme proposé ainsi que le candidat choisi pour le poste de président de la Commission européenne.

Vous partagez donc la conviction des libéraux de l’ALDE sur la nécessité de construire une Union européenne fédérale ?

Nous somme pour un gouvernement de l’Europe : est-ce que les Étals sont vraiment souverains sur des thématiques telles que la diplomatie, l’immigration ? Continuer d’exercer à l’échelon national ces pans de souveraineté nuit à l’UE. Il faut fédéraliser certaines compétences comme le contrôle des frontières. Ce n’est pas à l’Italie ou à Chypre qui se trouvent en première ligne d’assumer seuls l'afflux migratoire à destination de l’Europe ! Par ailleurs, si nous avions eu une véritable diplomatie européenne, et au regard de la quantité des importations de gaz que font les pays membres depuis la Russie, il aurait peut-être été possible de faire pression sur Vladimir Poutine dans le dossier syrien. Au lieu de cela, au dernier G20 les européens sont apparus divisés et impuissants sur la situation en Syrie.

Quelle gouvernance pourrait permettre à l’Union européenne de s’acheminer vers davantage de fédéralisme ?

Dans la famille centriste, nous avons un regard critique sur les institutions européennes et leur système de gouvernance. L’Union européenne est la seule institution qui possède autant de présidents! (Herman Van Rompuy, président du de l’UE, José Manuel Barroso, président de la Commission européenne ainsi que la présidence tournante de l’UE). Cette multiplication des chefs de file dilue le pilotage politique. D’autant que ces deux-là - Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso - racontent exactement la même chose !

Je suis en faveur d’un président unique de l’Union européenne, qui présiderait à la fois le Conseil et la Commission européenne. Le nombre démesuré de commissaires européens est aussi une aberration. Il faut cesser de conditionner le nombre de ces ministres européens au nombre d’Etats membres et avoir un collège réduit. Cela permettra en plus de réguler le nombre de directives produites, qui est effrayant.

Parallèlement l’Eurogroupe ne possède pas de président dédié, puisqu’il est dirigé par le ministre des finances d’un des pays de la zone euro. Il est impératif que l’Eurogroupe soit doté d’un dirigeant sans mandat national. Cela peut donner lieu à des conflits d’agenda mais aussi à des conflits d’intérêts.Le catalyseur de la zone euro c’est le fédéralisme, et il faut mettre en place une gouvernance spécifique de la zone euro. Cela ne créera pas une Europe à deux vitesses car tous les pays de l’UE ont vocation à intégrer la zone euro.

Jean Arthuis, Vice-Président Europe de l'UDI

vendredi 6 décembre 2013

Programme de l'UDI sur l'Europe : apporter votre contribution

Télécharger le Programme de l'UDI sur l'Europe

Communiqué de presse :

Vendredi 30 août, s'est tenue à Paris, avec des partenaires centristes des pays de l’Union européenne une grande réunion de travail et d’échanges sur notre vision, nos valeurs partagées pour l’Europe.

Cet évènement a permis d’établir les bases d’un document de travail qui a été distribué dans les fédérations et que vous trouverez en cliquant ici : Europe programme.

Dès aujourd’hui, nous demandons aux fédérations de mettre en débat ce document en vue de préparer un Congrès national consacré à l’Europe cet automne.

Notre conviction fédéraliste constitue notre identifiant et nous différencie des autres formations politiques françaises. Elle s’articule autour de quelques idées fortes :

- une Europe s’imposant comme force de progrès dans la mondialisation et ambitieuse face aux grands défis mondiaux

- une Europe mieux gouvernée et plus démocratique autour d’une zone euro qui devient l’ébauche d’une Europe fédérale

- une Europe combattant pour les libertés et l'égalité des droits sur notre propre continent

La grande idée de ce document est certainement la mise en place d'un vrai gouvernement des États-Unis d'Europe, dans une Europe déchargée de ce dont elle ne devrait plus s'occuper, participant de l'idée d'«un gouvernement de missions» qui rende des comptes au Parlement européen.

Plusieurs missions ont d’ores et déjà été identifiées: convergence économique et budgétaire, lutte contre l'évasion fiscale, solidarité bancaire et financière, soutien actif aux services et à l'industrie, au numérique, à la croissance verte et aux nouvelles technologies de l'énergie, politique migratoire européenne adaptée aux nouveaux enjeux, partenariat Europe-Afrique, lutte contre toutes les formes de criminalité.

Nous vous demandons donc aux Présidents des fédérations de porter sur cette base le débat européen dans leur fédération et de nous faire remonter le résultat de vos travaux d’ici mi-octobre .

Jean-Louis Borloo, Président de l'UDI et
Jean Arthuis, Vice-Président Europe de l'UDI

mardi 3 décembre 2013

Dégradations sur la permanence UMP Niortaise

Communiqué de presse :

"L'UDI des Deux-Sèvres et ses mouvements associés - Nouveau Centre, Alliance Centriste et Parti Radical - condamnent les dégradations commises sur la permanence de l'UMP de Niort. Une telle bêtise ne rend service à personne.
Nous espérons que le ou les responsables de cet acte soient identifiés et justement condamnés."

Contacts presse :

Xavier ARGENTON
Président du Nouveau Centre 79 et Président de l'UDI 79 - 06 71 61 73 15
Jean-Michel PRIEUR
Président de l'Alliance Centriste 79 et 1er Vice-président de l'UDI 79 - 06 18 72 14 27
Jean-Pierre GRIFFAULT
Délégué du Parti Radical 79 - Vice-président de l'UDI 79 - 06 14 18 06 17